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Les classiques se définissent d’abord du point de vue de l’histoire littéraire par leurs propriétés distinctives. 1. Excellence – Ce sont des textes de qualité marquée, c’est-à-dire qui sont destinés à avoir une valeur supérieure en eux-mêmes. L’étymologie latine de première classe « classicus » suggère cette supériorité.
Qui fait autorité, qui est considéré comme un modèle. Exemple : Texte classique. Qui appartient à l’antiquité grecque ou romaine. Qui concerne les auteurs du XVIIe siècle, et leurs œuvres, qui reprenaient les codes esthétiques de l’Antiquité.
Une œuvre ne devient donc un classique qu’au cours de l’histoire de sa réception par les générations successives, au fur et à mesure qu’elle traverse les âges à venir, ou suscite un intérêt durable.
C’est quoi un homme classique ?
Qui mérite d’appartenir à la culture générale et est enseignée en classe (par opposition à une œuvre ou un auteur mineur) ou a acquis une notoriété telle qu’elle sert de référence dans son genre : Identifiez ses auteurs classiques.
De plus, ce qui est considéré comme moderne est souvent quelque chose d’original, qui ne suit pas les règles déjà établies. Moderne a donc les antonymes classique et traditionnel.
(1548) Du latin classicus (« appartenant aux citoyens de la première classe, les plus riches (voir classes) »). Aulu-Gelle (IIe siècle) utilise l’expression « auctores classici » pour désigner les auteurs de première classe. Pour certaines de ses connotations, le mot a été influencé par « classe », au sens d’école.
Une tendance artistique qui se caractérise par le sens des proportions, le goût des compositions équilibrées et stables, la recherche de l’harmonie des formes, le désir de modestie dans l’expression.
Mot dérivé du classique, avec le suffixe -isme. (1817) Au sens de « le caractère des œuvres littéraires qui se réfèrent à l’art ancien » ; (1875) avec « le caractère de ce qui est harmonieux, équilibré ». Du latin classicus « première classe », les Français ont gardé l’idée de qualité, d’excellence.
L’étymologie d’un mot est son histoire, son origine. Par exemple, nous cherchons l’étymologie du mot âne. C’est ce qu’on lit dans le dictionnaire : cul (asne, xe ; lat. asinus), etc.
Les textes classiques sont donc des textes qui ont au moins respecté les règles afin de pouvoir les renouveler. 7 Charles-Augustin de Sainte-Beuve, « Qu’est-ce qu’un classique ? », Le Constitutionnel, 21 octobre 1 (…)
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